Chaque jour, des incendies plus ou moins graves se déclarent en environnement professionnel. Si le nombre de victimes directes (morts, brûlés, intoxiqués par les fumées) est relativement faible, le risque économique est très élevé.
Première source de sinistre dans les entreprises, l’incendie est un risque majeur pour les personnes et les biens. La prise en compte du risque incendie en prévention est essentielle pour éviter la fermeture temporaire ou définitive de l’établissement à la suite d’un sinistre.
L’incendie est un danger permanent dans l’entreprise car il met purement et simplement en jeu la vie de l’entreprise. En effet, dans près de 80% des cas, l’entreprise disparaît dans les deux années qui suivent l’incendie.
Les principaux facteurs de risque sont : les installations d’origine électrique, les systèmes de chauffage et de climatisation ainsi que les appareils de cuisson etc… A cela, il faut ajouter le déficit de formation du personnel dans la prévention de risque d’incendie car plusieurs cas de début d’incendies recensés sont maîtrisés par le personnel. Par ailleurs la formation du personnel permet d’identifier dès le départ les facteurs de risques et de les supprimer.
Un système de management de la santé et de la sécurité au travail (SMS) est un dispositif de gestion combinant personnes, politiques, moyens et visant à améliorer les performances d’une entreprise en matière de santé et de sécurité au travail (S&ST).
C’est un outil qui permet de mieux maîtriser l’organisation de l’entreprise et de progresser en continu en intégrant la S&ST à toutes les fonctions.
L’adoption d’un tel système est l’expression d’une approche globale et gestionnaire de la prévention des risques professionnels. C’est une démarche volontaire qui vise à :
- anticiper les changements,
- augmenter la réactivité et la performance de l’entreprise dans la prévention des risques en S&ST,
- limiter les dysfonctionnements en S&ST,
- assurer une cohérence globale avec les autres démarches de management.
Elle participe à l’amélioration de l’image de l’entreprise.
Les SMS constituent un cadre de gestion globale et structurée des risques, notamment pour les petites et moyennes entreprises (PME). Ils permettent souvent un positionnement stratégique de la S&ST, conférant autorité et légitimité à la fonction sécurité, et sont une source potentielle d’apprentissage pour l’entreprise dans tous les domaines. De ce point de vue, leur mise en œuvre doit être encouragée pour autant que certaines conditions soient remplies. Ils peuvent a contrario entraîner des effets indésirables si leur mise en œuvre n’est pas faite dans le respect de certaines valeurs essentielles ni dans de bonnes conditions : standardisation excessive des modes de gestion, rupture du dialogue social, conformité à un système sans réel progrès, contrôle excessif des comportements.
Un SMS peut faire partie d’une démarche de développement durable, qui doit prendre en compte la santé et la sécurité des travailleurs.
Dans le secteur manufacturier, il existe plusieurs situations où le travail doit être effectué en hauteur et où les risques d’accidents sont réels. Sans compter les travaux de construction qu’il faut parfois effectuer. L’utilisation d’échafaudages temporaires est courante à l’occasion de ces travaux, de même que l’emploi d‘échelles et d’escabeaux. Les problèmes associés à la protection contre les chutes de hauteur lors de ces travaux sont nombreux et peuvent être complexes.
Heureusement, il existe des équipements permettant d’effectuer en sécurité ce travail en hauteur, telles que les plateformes élévatrices (à ciseaux ou à bras articulé) et les plateformes de chariots élévateurs. Ces équipements n’éliminent pas tous les risques de chute
Il est ainsi important de considérer avec sérieux ces risques et tous les équipements utilisés. Mais avant tout, il est recommandé de commencer par l’élimination à la source, car le travail en hauteur n’est pas inévitable. En posant la question de sa pertinence et en recherchant des alternatives, on peut sans doute éliminer plusieurs situations à risques. Il faut donc commencer par des stratégies de prévention des chutes de hauteur. Cette formation se propose ainsi de traiter chacun des éléments soulignés ici.
Le but de cette formation est d’obtenir une homogénéité dans les techniques d’entreposage et les espaces de stockage disponible et d’acquérir un niveau de maturité dans l’empilage et arrimage en magasin pour les équipes de manutentionnaires, caristes et de chefs de magasins.
Cette formation se justifie par des constats faits par le Consultant portant notamment sur :
- L’insuffisance de formation du personnel aux méthodes d’entreposage (stockage, d’empilage et d’arrimage);
- Le statut du personnel ouvrier dans les magasins : en majorité des saisonniers et journaliers
- Les défaillances et insuffisances constatées dans magasins souvent construits sans plan de stockage et de circulation (balisage du sol et signalisation diverses), sans plan de prévention des incidents et accidents de travail, et sans plan de sécurité incendie et d’évacuation en cas de sinistre.
- L’accidentologie (Incidents/accidents) : Des accidents et incidents de travail sont fréquemment enregistrés dans les entrepôts. Ce sont généralement des chutes de hauteur des manutentionnaires empileurs ou caristes et/ ou les éboulements des piles de coton, …)
Chaque jour, des incendies plus ou moins graves se déclarent en environnement professionnel. Si le nombre de victimes directes (morts, brûlés, intoxiqués par les fumées) est relativement faible, le risque économique est très élevé.Première source de sinistre dans les entreprises, l’incendie est un risque majeur pour les personnes et les biens. La prise en compte du risque incendie en prévention est essentielle pour éviter la fermeture temporaire ou définitive de l’établissement à la suite d’un sinistre.
L’incendie est un danger permanent dans l’entreprise car il met purement et simplement en jeu la vie de l’entreprise. En effet, dans près de 80% des cas, l’entreprise disparaît dans les deux années qui suivent l’incendie.
Les principaux facteurs de risque sont : les installations d’origine électrique, les systèmes de chauffage et de climatisation ainsi que les appareils de cuisson etc… A cela, il faut ajouter le déficit de formation du personnel dans la prévention de risque d’incendie car plusieurs cas de début d’incendies recensés sont maîtrisés par le personnel. Par ailleurs la formation du personnel permet d’identifier dès le départ les facteurs de risques et de les supprimer.
Les premiers secours consistent en la dispensation des connaissances nécessaires à la bonne exécution des gestes de secours destinés à préserver l’intégrité physique d’une victime, protéger la victime et les témoins, alerter les secours d’urgence adaptés, empêcher l’aggravation de l’état de la victime, et préserver son intégrité physique en attendant l’arrivée des secours organisés.
L’environnement de travail, La santé et la sécurité des employés sont des éléments primordiaux en milieu professionnel.
Un employé qui est protégé et qui possède un environnement de travail propre et sain, avec beaucoup de prévention, sera un employé plus performant à tous les niveaux.
Certains environnements de travail sont agressifs par nature, ils requièrent de la part des employés une attention soutenue pour préserver leur santé.
La protection de l’environnement, de la santé et la sécurité au travail impliquent toutes les parties au contrat social et par conséquent la responsabilité de chacun pourrait être engagée.
La mise en place de meilleurs contrôles et procédés permet de réduire le nombre d’accidents du travail et de maladies professionnelles.
L’objectif de cette formation est non seulement de sensibiliser le personnel mais également de l’équiper afin qu’il soit en mesure de préserver son environnement, sa sécurité et sa santé des risques divers
Les organismes, de par leurs diversités en termes de types, secteurs et tailles (entreprise, gouvernement, ONG, individu, etc.) sont confrontés à des facteurs qui les influencent à l’interne comme à l’externe. L’incertitude générée par ces facteurs, portant sur l’atteinte des objectifs d’un organisme, en constitue le risque.
De nos jours, les organismes se trouvent devant deux objectifs qui semblent, à première vue, contradictoires à savoir :
- Le développement de l’innovation dans la quête d’offrir un produit meilleur et la conquête de nouveaux marchés d’un côté
- La garantie d’un haut niveau de sécurité et la maîtrise des risques souvent engendrés par tout processus innovant d’un autre. La précaution est un traitement du risque qui existait avant que l’opinion publique puis la législation ne l’érigent en principe
Au cours du temps, la multiplication des différents évènements tragiques a démontré l’importance de la gestion adéquate des risques. Désormais, la gestion des risques est un élément indispensable à la survie de tout type d’organisme. Le risque peut être, en effet, pilote de décisions stratégiques, source de nombreuses incertitudes et une menace à la pérennité des activités.
Une approche globale du management du risque permet d’évaluer l’impact de tous les types de risques sur tous les processus, y compris les personnes, les biens et l’environnement. C’est dans cette logique qu’a été publiée la norme ISO 31000 « Management du risque – Principes et lignes directrices». Elle offre une approche structurée et globale de la mise en œuvre du management du risque en entreprise ; le but de cette formation est de vous en assurer la maîtrise.
Un équipement de protection individuelle (EPI) est un dispositif ou moyen destiné à être porté ou tenu par une personne en vue de la protéger contre un ou plusieurs risques susceptibles de menacer sa sécurité ainsi que sa santé, pendant l’exécution d’une tâche à son lieu de travail.
De façon universelle, les EPI sont classés en 3 catégories, selon la gravité du risque concerné : équipements de travail couvrant les risques mineurs (Classe 1), les équipements de protection spécifique pour les risques importants (Classe 2), et les équipements de sécurité pour les risques graves à effets irréversibles ou mortels (Classe 3).
Les risques peuvent être de différentes natures : chimique (poussière, vapeur, solvant…), mécanique (choc, coupure, projection…), électrique, thermique, biologique, rayonnement ionisant ou non (infrarouge, laser, ultraviolet), bruit….
Dans le cadre de la planification des secours, l’exploitant d’une activité industrielle établit un plan d’opération interne (POI) en vue de définir les mesures d’urgence au sein de son installation.
Le plan d’opération interne (POI) est un plan d’urgence, élaboré par l’exploitant sur la base de l’étude de dangers. Il prévoit les mesures à prendre et organise les moyens de secours, équipements et méthodes d’intervention à mettre en œuvre pour faire face aux sinistres survenus dans une des installations du site et dont les effets ne sont pas susceptibles de déborder les limites de ce dernier.
Ce plan est déclenché par le chef d’entreprise (ou par son représentant dûment mandaté) qui dirige les secours en interne.
Un Plan de Continuité d’Activité (PCA) peut se définir comme étant un processus qui vise à assurer le fonctionnement d’une entreprise en mode dégradé, en cas de sinistre ou de catastrophe majeure.
On sait aujourd’hui que dans un environnement qui est devenu fortement concurrentiel, la fiabilité et la réputation d’une entreprise sont devenues des notions essentielles. Il est donc important de relever qu’une entreprise puisse prouver qu’au-delà du respect des règles et des normes, de son image de marque et de la confiance de ses clients, elle peut survivre à un arrêt complet de ses activités pendant plus de 3 jours.
Dès lors, mettre en œuvre d’un plan de continuité d’activité va permettre à l’entreprise, par anticipation sur tous les scénarios possibles d’incident et de catastrophe, d’assurer sa survie ainsi que le maintien de ses activités clés.
Il permet une reprise ordonnée des activités d’une entreprise suite à une crise majeure.
Le plan de reprise permet de préparer à la reprise de l’activité après une période de crise. La remise en ordre de marche se fera certainement progressivement en suivant les règles de déconfinement mises en place par le gouvernement et se fera certainement selon une approche différente en fonction des activités de l’entreprise.
L’élaboration du plan de reprise doit amener les employeurs à réfléchir et à analyser les activités qui peuvent être relancées mais également les mesures et moyens humains comme matériel, à mettre en place pour que cette reprise puisse se faire en assurant la protection des travailleurs et des tiers.
Le Plan de reprise d’activité doit également être bien pensé pour remobiliser le personnel après plusieurs semaines d’inactivité.